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  • Peu importe le défi auquel nous faisons face en ce moment de notre vie, nous savons que Rien n'est impossible à Dieu (Mat 19: 26). Bien plus, Il est un Dieu plein d'amour et de compassion pour ceux qui l'aiment et qui se confient en Lui.
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Cantique Chretienne

3 avril 2013 3 03 /04 /avril /2013 16:29

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Pensée d'hier pour monde d'aujourd'hui

J’ai découvert il y a a quelques temps, ce texte du pasteur Ecossais Oswald Chambers (disparu lors de la première guerre mondiale). L’extrême modernité de sa réflexion, ainsi que la justesse de ses propos m’ont impressionné. Jugez plutôt:

 

Nous sommes ouvriers avec Dieu. I Corinthiens 3;9

 

Méfie-toi de tout travail pour Dieu qui te détourne de concentrer sur Lui ta pensée. Il y a beaucoup de chrétiens qui font de leur travail leur idole. Le travailleur ne doit s'inquiéter que de sa communion permanente avec Dieu, et tout le reste, toute son activité, toute sa pensée, il doit ne s'en faire aucun souci, comme un enfant respectueux et docile du Père céleste, Sans cela, il risque fort de se laisser déborder et même écraser par son travail. Il ne peut plus jouir de la vie. Il est trop accablé pour que la bénédiction de Dieu puisse se poser sur lui. Mais d'autre part, si l'on sait concentrer toute son âme en Dieu, Dieu dirige pour nous tout le reste, harmonieusement.
Vous ne sentez plus peser sur vous la responsabilité de votre travail. Vous ne vous sentez plus responsable que d'une chose: le maintien intégral de votre communion intime et de votre collaboration avec Dieu. La sanctification produit en nous une liberté totale, celle de l'enfant. Mais rappelez-vous que cette liberté vous est accordée uniquement pour que vous puissiez vous consacrer sans relâche à votre divin Collaborateur.
Ce n'est pas à nous de décider où nous voulons aller, ni de savoir à quoi nous pouvons être utiles. C'est Dieu qui arrange tout pour nous. Partout où il nous place, notre rôle est de Lui être entièrement dévoué dans ce travail particulier. "Tout ce que ta main peut faire, fais-le avec ta force." (My utmost for His highest)

 

Dans ce passage, l’auteur nous rappelle que notre objectif sur cette terre en tant que serviteurs de Dieu, --ce à quoi nous sommes tous et toutes appelés-- est d’abord de rechercher une relation authentique avec notre Sauveur. 

Il pose la question centrale de ce qui motive effectivement notre action. 

Car «c’est au coeur de l’homme que Dieu regarde et non à l’apparence extérieure», comme cela fut rappelé au prophète Samuel par Dieu, lors de sa mission en vue de choisir un successeur au Roi Saül. (1Samuel 16:7). 

Nous jugeons le plus souvent un ministère ou un service par son ampleur, le nombre de personnes touchées, la taille des auditoires, l’influence, la notoriété dans les courants de pensées du monde chrétien... et je ne dis pas que ces choses soient mauvaises en elles-mêmes, mais simplement qu’elles ne sont que «l’aspect qui frappe les yeux» et pas forcément la représentation fidèle du coeur du serviteur qui les porte. 

Ce(tte) dernier(e), a t’il(elle) travaillé avec le seul désir de voir son Dieu glorifié et des âmes transformées, ou en étant aussi à la recherche d’objectifs plus personnels ? 

D’une reconnaissance de ses pairs, d’un prestige humain, d’un besoin d’y trouver sa valeur personnelle...  ?

Dieu ambitionne plus que le simple fait de nous bénir de ses dons. Ce qu’Il désire  ardemment est d’être dans une relation intime avec nous, comme un papa ne veut pas que ses enfants ne l’aiment que pour les cadeaux qu’ils reçoivent, mais  plutôt pour lui-même. Dieu sait ce dont nous avons besoin avant même que nous ne lui demandions, il sait ce qui est bon pour nous, et ne nous donne pas ce qui pourrait nous nuire (Luc 11:13). Il nous aime, et veut que nous sachions qu’en Lui nous ne manquerons jamais de rien (Matthieu 6:33). Qu’Il est notre «tout suffisant». 

Au travers de ses dons, ce que le coeur de Dieu recherche est notre abandon en Lui

Qu’en tant que son enfant, nous prenions conscience du besoin que nous avons de toujours plus le connaître. Plus notre relation avec Lui sera intime, plus nous pourrons communiquer son coeur à ceux et celles qu’Il nous confie. Plus nous diminuerons à nos propres yeux, plus Il grandira en nous et sera glorifié (Jean 3:30). 

«Sans moi, vous ne pouvez rien faire» nous rappelle Jésus dans l’évangile de Jean. Notre service quel qu’il soit, pour rester vivant et pertinent, ne peut reposer sur nos seules capacités professionnelles ou notre «savoir faire».

L’approbation de Dieu ne se juge pas à l'importance de ce qu’Il nous confie, car cela Lui appartient, mais à notre fidélité et à notre dépendance à Sa volonté.

Rien de ce que nous accomplissons ne peut rajouter quoique ce soit à son amour pour nous. (Rom.5:8)

Sûrs de notre position en Christ, fuyons le piège de l’activisme qui assèche notre  vie spirituelle et avec le psalmiste, demandons au Seigneur: «Sonde-moi ô Dieu et connais mon coeur !»(Ps139:23)

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31 mars 2013 7 31 /03 /mars /2013 13:51

 

L'amitié - "Simon, fils de Jean, m'aimes-tu plus que ceux-ci ?" Jean 21, 15-19.

 

Par Vianney, vendredi 9 mai 2008

 

L'Evangile que nous propose l'Eglise aujourd'hui, à l'avant-veille de la grande fête de la Pentecôte, m'interpelle fortement, dans une réflexion que je me fais actuellement sur l'amitié et sur la place qu'elle tient dans ma vie...

 

Il me semble utile de rapporter l'ensemble du passage dont la référence se trouve dans le titre de cet article :

 

Quand ils eurent déjeuné, Jésus dit à Simon-Pierre : "Simon, fils de Jean, M'aimes-tu plus que ceux-ci ?" Il lui répondit : "Oui, Seigneur, tu sais que je t'aime." Jésus lui dit : "Pais mes agneaux."

Il lui dit à nouveau, une deuxième fois : "Simon, fils de Jean, m'aimes-tu ?" - "Oui, Seigneur, lui dit-il, tu sais que je t'aime." Jésus lui dit : "Pais mes brebis."

Il lui dit pour la troisième fois : " Simon, fils de Jean, m'aimes-tu ? " Pierre fut peiné de ce qu'il lui eût dit pour la troisième fois : "M'aimes-tu ?", et il lui dit : "Seigneur, tu sais tout, tu sais bien que je t'aime." Jésus lui dit : "Pais mes brebis.

 

En vérité, en vérité, je te le dis, quand tu étais jeune, tu mettais toi-même ta ceinture, et tu allais où tu voulais ; quand tu auras vieilli, tu étendras les mains, et un autre te ceindra et te mènera où tu ne voudrais pas."

Il signifiait, en parlant ainsi, le genre de mort par lequel Pierre devait glorifier Dieu. Ayant dit cela, il lui dit : "Suis-moi."

(traduction Bible de Jérusalem)

 

 

Pour situer le contexte, le chapitre 21 est le dernier chapitre de l'évangile selon saint Jean, et relate une manifestation du Christ ressuscité au bord du lac de Tibériade, où les disciples le reconnaissent à la pêche miraculeuse qu'ils font sur son ordre.

 

Le passage que nous venons de lire suit immédiatement cette pêche miraculeuse. Cet évangile se termine quelques versets plus loin en forme de queue de poisson. Jean ne nous parle pas de l'Ascension, mais finit simplement sur ces paroles étonnantes : "Il y a encore bien d'autres choses qu'a faites Jésus. Si on les mettait par écrit une à une, je pense que le monde lui-même ne suffirait pas à contenir les livres qu'on en écrirait."

 

 

La première question de Jésus à Simon-Pierre est étonnante : "M'aimes-tu plus que ceux-ci ?" Il faut être le Fils de Dieu, ou bien sacrément culotté, pour oser poser cette question à un ami ! Il se trouve que cette question est légitime, si l'on se rappelle le premier commandement de l'amour de Dieu, qu'on trouve déjà dans la loi juive, en Deutéronome 6, 5 : "Tu aimeras le Seigneur ton Dieu de tout ton coeur, de toute ton âme et de toute ta force". Cette question ne peut donc être posée, et Pierre ne peut y répondre, que dans la foi au Christ ressuscité, reconnu comme le Fils de Dieu. Pierre lui-même l'avait professé à la question de Jésus, en Matthieu 16, 15-16 : "Pour vous, qui suis-je ?" - "Tu es le Christ, le Fils du Dieu vivant." Il est depuis passé par le triple reniement pendant le procès de Jésus, auquel renvoie cette triple demande de Jésus : "Pierre, m'aimes-tu ?", et la triple profession de foi, triple déclaration d'amour de Pierre.

 

Il n'empêche... "M'aimes-tu plus que ceux-ci ?" Question déchirante... et question posée, certes à tout chrétien, mais plus particulièrement à ceux que Jésus appelle à devenir pasteurs de ses brebis. Pierre répond par trois fois : "Oui, Seigneur, tu sais que je t'aime !", et à chaque fois Jésus lui donne cette mission : "Pais mes agneaux, mes brebis." Il semble donc bien que cette mission est donnée en fonction de cette primauté de l'amour pour le Christ.

Et cet envoi en mission finit sur cet appel : "Suis-moi." (Je passe l'annonce de la mort de Pierre, même s'il y aurait beaucoup à dire là-dessus.)

 

 

Déchirant. Cela voudrait-il dire que je doive renoncer à mes amis pour suivre le Christ ? On pourrait croire que oui.

Ca poserait question. Ca me pose question.

Non, il ne faut pas durcir le trait : Jésus ne demande pas, pour le suivre, que l'on renonce à ses amis. Ce qu'il demande, c'est que notre amitié avec chacun d'eux soit ordonnée à celle que nous avons avec lui : que ce soit lui que nous aimions avant tout, y compris avant nos amis, y compris avant nous-mêmes. Cela a plusieurs conséquences.

 

Il se peut, et l'expérience malheureusement le montre, que certains n'acceptent pas cette primauté de l'amour de Dieu. J'ai, pour ma part, des amis qui l'ont refusée et qui ont pris leurs distances, parfois radicalement, ne comprenant pas ce choix radical, et croyant souvent qu'ils ne comptaient plus pour moi.

 

Il y a cependant plus difficile encore à réaliser : il se peut que, pour moi-même, une amitié prenne une telle importance qu'elle prenne le pas sur celle que le Seigneur me propose. Oh, pas besoin d'aller chercher loin : je zappe mon heure d'oraison parce que je discute avec untel, j' "oublie" mon office parce que j'ai rendez-vous avec unetelle... il faut choisir entre la messe et un dîner avec des amis... Il arrive cependant qu'il faille remettre à Dieu une amitié, totalement, parce qu'un choix a été demandé, explicitement ou pas. Ca m'est arrivé, et je peux témoigner que ce fut une mort à moi-même, un réel renoncement... qui n'impliquait pas que moi et qui n'a pas été compris, du moins sur le moment.

 

 

Allons plus loin : il n'y a pas d'opposition entre l'amitié envers des personnes et l'amour premier pour Dieu. Je suis même profondément convaincu, même si cela reste assez mystérieux, que mes amitiés les plus profondes sont celles qui sont ancrées, des deux côtés, dans l'amour premier donné au Christ. A vrai dire, une amitié qui se mettrait au-dessus de Dieu ne serait plus juste...

 

D'après Aristote, dans l'Ethique à Nicomaque (ceux qui veulent préciser cette référence le peuvent), l'amitié suppose une certaine égalité entre les amis, car l'amitié suppose une certaine réciprocité. En effet, on comprend assez aisément que l'amitié entre un riche et un pauvre risque de poser rapidement problème, pour le riche qui risque d'être appelé à toujours donner, et pour le pauvre qui ne peut rien rendre à celui qui lui donne. L'amitié entre un mec qui sort de Normale Sup' et un gars qui sait vaguement aligner un syllogisme risque d'être difficile aussi, pour l'un parce qu'il va dépasser perpétuellement l'autre, et pour l'autre parce qu'il ne va rien capter aux délires intellectuels brillants du premier.

 

Ainsi pour l'amitié entre un enfant et un vieillard... Finalement, deux solutions se présentent souvent dans une amitié entre personnes de qualités différentes (qualité sociale, intellectuelle, d'âge... sans jugement aucun sur les personnes en elles-mêmes) : soit le "petit" va profiter du "grand", dans la mesure où cette grandeur, quelle qu'elle soit, peut être partagée, soit le "grand" va s'emparer du "petit", et cela peut être assez sournois et même tout à fait involontaire. Aristote admet cependant que, pour peu que les deux personnes soient de grande vertu, il est possible, très rarement, qu'une telle amitié si dissymétrique soit possible. Ouf !

 

Pourquoi ce soulagement ? "Je ne vous appelle plus serviteurs, mais amis" (cf. Jean 15, 13-15), nous dit Jésus. Gloups... mais alors, avec Jésus, lui qui est Dieu, donc plus grand que moi dans toutes les dimensions, comment puis-je prétendre à une réelle amitié ? A priori, d'après la réflexion d'Aristote, c'est foutu d'avance. Sauf si, et c'est encore le Philosophe qui nous le dit, le "grand" élève le "petit" à une position d'égalité avec lui, ce qui implique qu'il s'abaisse jusqu'à lui. Nous voyons ici le risque, et pourquoi il précise qu'il faut une grande vertu de la part des deux amis pour tenir cette relation d'égalité : il y a de grandes chances que le "grand" s'enorgueillisse de son amitié avec le "petit", ou que le "petit" finisse par se croire l'égal du "grand". Il est extrêmement difficile de maintenir cette égalité en amitié alors même que les conditions concrètes, qui sont ce qu'elles sont, sont si différentes !

 

Revenons à Jésus, Fils de Dieu, qui nous appelle ses amis. Tout le mystère de l'Incarnation du Verbe, deuxième personne de la Sainte Trinité, réside en cette "kénose", en cet abaissement total de Dieu qui se fait homme pour se faire notre égal, et nous élever à lui. Saint Paul le résume en quelques mots dans sa lettre aux Philippiens (chapitre 2, versets 6 à 11) : "Lui, de condition divine, ne retint pas jalousement le rang qui l'égalait à Dieu. Mais il s'anéantit lui-même, prenant condition d'esclave, et devenant semblable aux hommes. S'étant comporté comme un homme, il s'humilia plus encore, obéissant jusqu'à la mort, et à la mort sur une croix ! Aussi Dieu l'a-t-il exalté et lui a-t-il donné le Nom qui est au-dessus de tout nom, pour que tout, au nom de Jésus, s'agenouille, au plus haut des cieux, sur la terre et dans les enfers, et que toute langue proclame, de Jésus Christ, qu'il est SEIGNEUR, à la gloire de Dieu le Père."

 

Ainsi, Jésus, par amour, par amitié peut-on dire pour être dans notre propos, se fait notre égal, et nous fait ses égaux. Lui qui est source de toute vérité et de tout bien, il est évident qu'il ne prend aucun avantage à le faire et qu'il le fait de manière absolument gratuite. Du côté du "grand", dans notre petit résumé de la réflexion d'Aristote, il n'y a donc pas de problème de vertu. Du côté du "petit", c'est-à-dire du nôtre, en revanche, il y en a. Il est fréquent de croire que Dieu prend position de supériorité par rapport à nous, et qu'il profite de nous (ne me dites pas que ça ne vous est jamais arrivé : "Qu'ai-je donc fait à Dieu pour mériter cela ?" Jamais ? Mes respects...). Il est peut-être aussi fréquent de prendre cette égalité qu'il nous donne pour une réalité qui vient de nous : finalement, je n'ai pas besoin de Dieu ! (Jamais ? Mes respects !)

 

Il reste donc que ce don d'amitié, absolument gratuit, de Dieu pour chacun de nous est fondé sur une différence radicale qui est celle qui subsiste entre le Créateur et sa créature. Nous sommes, par nature, totalement dépendants de Dieu dans notre être même, dans notre existence même, mais il nous donne, en se faisant l'un de nous, de pouvoir être ses amis. On sent aussi qu'il est toujours difficile pour nous, qui sommes pécheurs, de tenir la ligne de crête entre les deux positions fausses énoncées rapidement juste avant !

 

Il nous reste à dire que cette amitié que Dieu nous donne, nous faisant d'une certaine manière, comme nous l'avons vu, ses égaux, nous rend tous égaux les uns par rapport aux autres devant Dieu, quelles que soient nos différences par ailleurs. C'est précisément cette amitié avec Dieu, dans le Christ, qui nous donne cette liberté de lier amitié avec n'importe qui. C'est cela qui me permet, moi, pauvre petit séminariste, d'être ami de François, un type profondément autiste de 45 ans, qui ne parle pas... mais aussi d'être ami de tel très grand bonhomme devant qui je me sens tout petit pour plein de raisons valables (remarquez que François, pour moi, est un très grand bonhomme, mais pour d'autres raisons...)

 

Mais si, pour une raison ou une autre, je mets telle ou telle amitié devant l'amitié que le Christ me donne, et que je le mets au second plan, tout s'écroule : je ne me retrouve plus en droit d'être ami qu'avec des gens de mon milieu, de mon âge, de ma maturité, etc. Game over.

 

 

"M'aimes-tu plus que ceux-ci ?" - Oh oui, Seigneur, c'est même précisément parce que je t'aime (et surtout parce que tu m'aimes !) que je peux aimer les autres, tous les autres, les grands comme les petits, les riches comme les pauvres, les brillants comme les pas très intelligents, mes amis "naturels" comme ceux pour qui cela me demande un grand effort...

 

Seigneur, prends pitié de moi ! Donne-moi de les aimer, tous ces amis, comme tu les aimes, sans intérêt pour moi-même, gratos, tels qu'ils sont, sans leur demander plus qu'ils ne peuvent, en vérité. Donne-moi surtout de toujours orienter toutes mes amitiés dans le seul but de t'aimer plus, parce que je sais bien que si je me détourne de ce but, c'est eux aussi que j'aimerai mal, de travers, et que finalement je tromperai en me trompant.

Merci Seigneur pour ces amis que tu me donnes, donne-moi de leur montrer ton amour pour chacun d'eux, ta proposition d'amitié pour chacun d'eux... que, dans mon amitié avec eux, ils puissent découvrir la tienne et se mettre à ta suite.

Amen !

 

 

http://vchewbaka.free.fr/dotclear/index.php/2008/05/09/51-l-amitie-simon-fils-de-jean-m-aimes-tu-plus-que-ceux-ci-jean-21-15-19

 

 

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25 décembre 2012 2 25 /12 /décembre /2012 12:28

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29 décembre 2011 4 29 /12 /décembre /2011 12:33

 

Le plan de Dieu pour l'humanité

Dieu appelle chacun, et lui dit : Où es-tu ?


.../...

            Combien nous devons veiller à garder cette Parole pure, et dire : "Seigneur, par ton Esprit de vérité qui veut nous révéler ta Parole dans sa pureté, montre-nous ce qui est dans ton cœur, par cette Parole. Je ne veux pas la recevoir comme quelque chose de froid, comme quelque chose qui a été écrit il y a des milliers d'années, et qui viendrait comme ça poussiéreux au travers des siècles. Je veux la recevoir comme une Parole qui est éternelle, qui ne changera pas, qui est toujours la même". Le Saint-Esprit de vérité veut toujours aujourd'hui confirmer dans notre cœur que la Parole de Dieu est la vérité.

 

            N'écoutons pas les mensonges du diable. Pour savoir si nous sommes en face d'un mensonge, nous avons la Parole du Seigneur, et le Saint-Esprit de vérité qui travaille avec la Parole de Dieu. Si mon cœur est ouvert à la vérité, si j'écoute la Parole, le Saint-Esprit va immédiatement travailler avec la Parole pour me montrer que c'est vrai, que c'est la pure vérité.

 

             Ici, le diable disait en partie la vérité. C'est vrai que s'ils mangeaient du fruit de l'arbre de la connaissance, leurs yeux s'ouvriraient, et ils connaîtraient le bien et le mal, mais par eux-mêmes, au lieu de le connaître par une pure dépendance avec Dieu.

 

            « La femme vit que l'arbre était bon à manger et agréable à la vue, et qu'il était précieux pour ouvrir l'intelligence ; elle prit de son fruit, et en mangea ; elle en donna aussi à son mari, qui était auprès d'elle, et il en mangea ». Et à ce moment précis, la mort les a touchés. Si vous lisez la suite, vous verrez qu'ils ne sont morts physiquement que neuf cents et quelques années plus tard. Mais à cet instant précis, leur esprit a été coupé de Dieu. C'est terrible de penser que cet esprit qui dépendait de Dieu, qui était uni à Dieu, qui ne faisait qu'un avec l'Esprit de Dieu a été coupé de Dieu, à cause de leur désobéissance.

 

            Et tous les drames que les hommes ont pu connaître depuis des siècles étaient déjà tous inclus dans cette coupure entre Dieu et eux à ce moment-là. Avec la mort sont entrés le péché, la maladie, les infirmités, les ténèbres, la domination du diable sur l'humanité. Et les enfants qui sont nés après eux ne pouvaient pas naître d'un couple qui était en union avec Dieu, ils sont nés dans la mort. Ils sont nés de la chair, et la mort s'est répandue jusqu'à maintenant par Adam et Eve, jusqu'à nous. Nous sommes nés dans le péché, nés dans la mort sur cette terre.

 

            Si la vie vous a réussi jusqu'à présent, si vous êtes jeunes et beaux, et riches, et intelligents, et cultivés, vous n'avez sans doute pas encore compris que vous êtes nés dans la mort. Vous savez que vous allez mourir physiquement un jour. Mais est-ce que vous avez compris que votre esprit est complètement coupé de Dieu ? Et que vous êtes en train de vous en sortir par vos propres forces comme Adam et Eve, dès le début ?

 

            A partir du moment où leur esprit a été coupé de Dieu, ils n'avaient plus qu'une solution, c'est s'en tirer par leur propre force. Ils ne leur restaient plus que cette solution. Ils ne pouvaient plus dépendre de la vie de Dieu à chaque instant : la source était coupée. Il fallait qu'ils dépendent de leur intelligence, et Dieu nous a donné une intelligence qui est bien réelle. Il fallait qu'ils dépendent de leur savoir-faire. Il fallait qu'ils dépendent de tout ce qu'ils allaient être capables de faire par eux-mêmes. Il fallait aussi qu'ils puisent à d'autres sources mauvaises, comme celle du diable qui était là pour leur donner aussi tout ce qu'ils voulaient comme capacité de puissance diabolique, tant qu'ils restaient coupés de Dieu, pour les enfoncer dans la mort de plus en plus.

 

            Il a fallu neuf cents et quelques années pour que la mort qui était dans leur esprit passe dans leur âme et dans leur corps. Ils avaient encore un corps qui sortait juste de l'immortalité. Il a fallu neuf cents années pour que la mort les imbibe dans tout leur être. Et on voit que dans la suite, la durée de vie diminue, diminue, diminue. Aujourd'hui, Dieu dit dans sa Parole que la durée normale de la vie d'un homme, c'est soixante-dix ans, quatre-vingts pour les plus vigoureux. « Les jours de nos années s'élèvent à soixante-dix ans, et, pour les plus robustes, à quatre-vingts ans ; Et l'orgueil qu'ils en tirent n'est que peine et misère, car il passe vite, et nous nous envolons » (Psaumes 90:10). Mais c'est tout, pour des êtres qui devaient vivre éternellement avec Dieu. Quelle tragédie, quelle catastrophe !

 

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29 décembre 2011 4 29 /12 /décembre /2011 11:46

Le plan de Dieu pour l'humanité

Dieu appelle chacun, et lui dit : Où es-tu ?



            Je vais vous lire quelques versets au début du livre de la Genèse. Le Seigneur veut nous faire comprendre ce qu'il est venu faire pour nous. Au début, tout au début, quand Dieu a créé le monde, il n'a pas créé les choses comme elles sont maintenant. Le Seigneur n'avait pas voulu toutes ces misères qui sont aujourd'hui dans le monde : la mort, la maladie, les souffrances. Tout ce qui se passe, qui fait souffrir l'humanité n'était pas dans le cœur de Dieu.

 

            Au début de la création, Dieu a commencé par créer l'univers, et tout ce qu'il contient, et il a fini par créer l'homme. D'abord l'homme puis la femme, et il a voulu les créer dans la perfection que Lui seul pouvait donner.

 

            Dans Genèse 2, il est dit au verset 7 : « L'Éternel Dieu forma l'homme de la poussière de la terre, il souffla dans ses narines un souffle de vie et l'homme devint un être vivant ». Le texte original dit : et l'homme devint une âme vivante. Dieu a pris de la poussière, il l'a modelée. Il a soufflé son Esprit dans ce corps de poussière qu'il venait de faire, et l'homme est devenu une personne vivante, une âme vivante. Et il a placé cet homme au milieu d'un jardin magnifique. Ensuite, Dieu a vu que l'homme était seul, et qu'il lui fallait une compagne. L'homme ne pouvait pas s'en sortir seul. Et Dieu a plongé Adam dans un profond sommeil, et il a tiré de son côté celle qu'il a formée, Eve sa femme, de sa chair et de ses os. Et tous les deux étaient parfaits en tous points. Il n'y avait aucune trace de péché dans leurs vies, ils étaient en parfaite communion avec Dieu. Ils devaient vivre éternellement.

 

            Dieu leur a dit : "Croissez, et multipliez". Ils devaient former des enfants qui devaient eux-mêmes ne pas connaître la mort. Est-ce que vous réalisez que quand Dieu a créé l'homme, et la femme, il les a créés parfaits, il les a créés sans maladie, sans mort, sans péché ? Des êtres qui étaient en parfaite communion avec Dieu, qui le voyaient face à face. Et Dieu prenait du plaisir avec eux, dans ce jardin.

 

            Dieu avait créé Adam et Eve dans une liberté parfaite. Il ne pouvait pas créer des êtres qui étaient incapables de dire non à Dieu. Pour être capables de lui dire oui volontairement, il fallait qu'ils soient aussi capables de lui dire non. S'il avait créé un homme et une femme incapables de dire non à Dieu, ils n'auraient pas été libres de choisir Dieu de tout leur cœur. Et Dieu voulait que cet homme, et cette femme soient créés à son image, qu'ils soient créés dans une parfaite liberté de choix, de décision. Et il leur a donné tout ce qu'il fallait pour pouvoir rester dans cette vie éternelle qu'ils avaient au début. Mais il fallait que leur liberté soit testée. S'il n'y avait jamais aucune épreuve pour tester notre liberté, on ne pourrait pas choisir librement de rester du bon côté.

 

            Et Dieu avait placé dans ce jardin magnifique deux arbres, l'un s'appelait l'arbre de vie, et un autre au milieu du jardin qui s'appelait l'arbre de la connaissance du bien et du mal. Et Dieu avait dit à l'homme : « Tu pourras manger de tous les arbres du jardin (y compris de l'arbre de vie), mais tu ne mangeras pas de l'arbre de la connaissance du bien et du mal, car le jour où tu en mangeras, tu mourras » (Genèse 2:17). Donc le choix était clair.

 

            L'arbre de vie représente la vie éternelle de Dieu, la vie de Christ. Et l'arbre de la connaissance du bien et du mal représente la vie personnelle d'un homme qui est séparé de Dieu, et qui veut connaître les choses de lui-même, sans être dépendant de Dieu.

 

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29 décembre 2011 4 29 /12 /décembre /2011 11:44

 

Le plan de Dieu pour l'humanité

Dieu appelle chacun, et lui dit : Où es-tu ?


.../...

            S'ils avaient mangé de l'arbre de vie, ils auraient entretenu la dépendance complète entre eux et Dieu. En mangeant de cet arbre de vie, ils auraient reçu constamment la vie de Dieu, qui devait entretenir la vie éternelle qu'ils avaient en eux. Et Dieu leur avait dit : "Si tu manges de l'autre arbre, tu mourras certainement". La mort spirituelle, c'est le fait d'être coupé de Dieu.

 

            Ils étaient en communion avec Dieu, ils connaissaient Dieu. C'est merveilleux de penser qu'au début Dieu a eu cette pensée dans son cœur : il a voulu créer un homme et une femme qui le connaissent, qui le voient, qui parlent avec lui, et qu'il pouvait nourrir constamment de sa vie éternelle, de son amour parfait. Dieu a un cœur tellement grand, tellement plein d'amour, qu'il lui fallait quelqu'un sur lequel déverser cet amour en permanence. Si Dieu était resté tout seul, il n'aurait eu personne sur qui déverser cet amour. Il lui fallait une créature pour lui dire : "Je veux déverser en toi en permanence cet amour pour que tu vives de ma présence. Choisis ! Tu peux continuer à te nourrir de ma vie, ou tu peux choisir de couper toi-même cette relation entre toi et moi. Mais dans ce cas, tu connaîtras certainement la mort."

 

            Et au chapitre 3, on voit le plus grand drame qui se soit passé dans l'univers. Le serpent, le diable connaissait le plan de Dieu. Le diable avait déjà été rejeté du ciel par le Seigneur à cause de son orgueil, et de sa rébellion. Au début, Dieu n'a pas créé le diable tel qu'il est devenu, mais Dieu avait créé l'archange Lucifer, pour que Lucifer reste toujours dans la présence de Dieu. Mais un jour, à cause de sa grande beauté, l'orgueil a été trouvé dans son cœur, et il a été coupé de Dieu. Il était un pur esprit, il n'était pas formé comme l'homme de la poussière de la terre, de la chair, et pour le diable, il n'y a aucun pardon possible.

 

            Dans Genèse 3, il est dit : « Le serpent était le plus rusé de tous les animaux des champs que l'Éternel Dieu avait faits (le diable a pris la forme du serpent). Il dit à la femme : Dieu a-t-il réellement dit : Vous ne mangerez pas de tous les arbres du jardin ? La femme répondit au serpent : Nous mangeons du fruit des arbres du jardin. Mais quant au fruit de l'arbre qui est au milieu du jardin, Dieu a dit : Vous n'en mangerez point et vous n'y toucherez point, de peur que vous ne mouriez ».

 

            Eve a ajouté, et elle a retranché quelque chose à la Parole de Dieu. Dieu n'avait pas interdit de le toucher, il avait interdit de le manger. Et il n'avait pas dit : "Si vous en mangez vous mourrez peut-être". Il avait dit : "Vous mourrez certainement." Ce n'était pas : "de peur que", mais certainement. Donc déjà, il y avait eu quelque chose qui s'était perdu dans le cœur d'Eve. Et Adam était le grand responsable de la chose : il aurait dû veiller à ce que sa femme reçoive la Parole tel que Dieu l'avait donnée à Adam, et qu'il contrôle en permanence Eve.

 

            Adam aurait dû lui dire : "Tu te rappelles bien ce que Dieu nous a dit. Il nous a dit de ne pas manger du fruit de cet arbre." Et Eve a oublié ce que Dieu avait exactement dit. Et quand le malin est arrivé, il a pu la séduire parce qu'elle avait oublié la Parole de Dieu, et elle l'avait modifiée. Elle ne se serait pas laisser séduire si cette Parole était restée sûre, claire et nette dans son cœur. Vous voyez l'importance qu'il y a à connaître, et à garder cette Parole de vérité. Le diable ne peut rien faire dans nos vies si nous gardons la Parole du Seigneur. Satan est le père du mensonge, il va essayer de tordre la Parole du Seigneur, de la modifier, d'ajouter, d'enlever. C'est le travail qu'il fait depuis le début, et toutes les religions des hommes, toutes les sectes, tous les mouvements qui sont purement humains ont ajouté et retranché quelque chose à la Parole du Seigneur.

 

            « Alors le serpent dit à la femme: Vous ne mourrez pas, mais Dieu sait que, le jour où vous en mangerez, vos yeux s'ouvriront, et que vous serez comme des dieux, connaissant le bien et le mal ». (Genèse 3:4-5). Là, il disait vrai par contre. Le diable ne dit pas seulement des mensonges, il suffit qu'il dise quatre-vingt-dix-neuf pour cent de vérité et un pour cent de poison mortel pour semer la mort. « Un peu de levure fait lever toute la pâte » (Galates 5:9).

 

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29 décembre 2011 4 29 /12 /décembre /2011 11:41

 

Le plan de Dieu pour l'humanité

Dieu appelle chacun, et lui dit : Où es-tu ?


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            Et quand la mort fut entrée, lisons dans Genèse, au chapitre 3, au verset 8 : « Ils entendirent la voix de l'Éternel Dieu ». Vous voyez qu'un être qui est mort spirituellement peut entendre la voix de Dieu. Mais la grande différence, c'est qu'ils n'étaient plus en communion avec Dieu.

 

            « Ils entendirent la voix de l'Éternel Dieu qui parcourait le jardin vers le soir ». Dieu savait ce qui s'était passé, il était attristé dans son cœur, il savait qu'il devait maintenant envoyer son fils pour mourir pour nous, à notre place. Il le savait de toute éternité, mais là les choses étaient en train de se préciser. L'homme avait touché à la mort, il fallait que quelqu'un d'autre meure à sa place, pour retrouver ce lien avec Dieu, cette communion avec Dieu qui existait au début. Et Dieu parcourt le jardin. « et l'homme et sa femme se cachèrent loin de la face de l'Eternel Dieu, au milieu des arbres du jardin ».

 

            Au lieu d'accourir joyeusement vers leur Créateur avec qui ils étaient avant si unis, ils étaient séparés de lui, ils ont eu peur, ils se sont enfuis. Quand on ne connaît pas Dieu comme notre Père, on est rempli de peur et de crainte quand Dieu se manifeste. Mais le Saint-Esprit est toujours là pour nous montrer que Dieu est amour, et que c'est l'amour de Dieu qui nous attire à lui. Là, ils étaient coupés de la source d'amour, ils devaient sans doute se dire : "Maintenant que toute relation est coupée, qu'allons nous bien devenir ? Qu'est-ce que Dieu va faire ? Quelle va être la solution de Dieu maintenant que nous sommes dans la mort ?

 

            « Mais l'Éternel Dieu appela l'homme, et lui dit : Où es-tu ? » (Genèse 3:9). C'est la parole que Dieu t'adresse aujourd'hui ! Dieu te dit aujourd'hui : Où es-tu ? parce que Dieu te cherche pour rétablir entre toi et lui ce qui existait tout à fait au début. Dieu te cherche, il te cherche si tu ne le connais pas, et si tu le connais déjà, il te cherche pour se révéler encore plus. Il nous cherche ! Pourquoi nous cherche-t-il ? Pour nous attirer près de lui afin de continuer à déverser en nous sa vie. Il nous aime.

 

            Il ne peut pas supporter de voir cet être qu'il a créé, coupé de lui, dans la mort, et il a dû envoyer son propre fils Jésus, dans une chair semblable à la nôtre. Le péché a été commis dans notre esprit au début, puis il s'est répandu dans l'âme et dans le corps : tout a connu la mort. Quand nous naissons aujourd'hui, nous sommes déjà coupés de Dieu. On se rend compte qu'il y a quelque chose qui ne va pas, il y a un vide dans le cœur de chaque homme, et de chaque femme qui vient dans ce monde. L'homme essaye de combler ce vide de toutes les manières possibles, mais ce vide ne peut-être comblé que par la présence de Dieu.

 

            Pour qu'il y ait cette présence de Dieu, il faut que le Seigneur Jésus intervienne, parce que nous sommes nés dans le péché, et le péché c'est la séparation entre Dieu et nous. Nous sommes nés dans le péché, et nous avons péché, et cela nous a coupé de Dieu à notre tour. Et nous devons comprendre que pour rétablir cette relation qui a été perdue, il y a dans le fond du cœur de l'homme un paradis perdu qu'il cherche en permanence. Certains vont le chercher à Katmandu, ou dans le sport, ou dans l'amour humain, ou ailleurs. Mais ce paradis perdu ne peut-être trouvé qu'en Jésus-Christ.

 

            Jésus-Christ est venu dans une chair semblable à la nôtre (dans un corps semblable au nôtre), parce que le péché est consommé dans la chair, c'est toujours par-là que finit la consommation du péché. Il peut commencer dans le cœur, par une tentation à laquelle on cède, mais ensuite, quand il est consommé, ça se traduit au niveau du corps. Vous pouvez prendre n'importe quel péché, il va se consommer finalement au niveau du corps. Il fallait que Jésus vienne en chair pour qu'il connaisse dans sa chair la mort à notre place, pour que nous puissions, si nous croyions en lui, retrouver la vie éternelle qu'Adam et Eve avaient au début.

 

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29 décembre 2011 4 29 /12 /décembre /2011 11:40

Le plan de Dieu pour l'humanité

Dieu appelle chacun, et lui dit : Où es-tu ?


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            Mais nous recevons encore plus qu'Adam et Eve. Adam et Eve ont été créés de la poussière de la terre, et s'ils avaient continué à manger les fruits de l'arbre de la vie, qui est la vie éternelle de Dieu, leur corps de poussière aurait aussi subi une transformation. Ça n'aurait pas été la simple poussière de la terre. Enfin je ne veux pas entrer là-dedans, mais je crois vraiment qu'en Christ nous avons encore plus qu'Adam et Eve, encore plus. Parce que nous avons, nous, accès à quelque chose qu'ils n'ont pas eu pleinement. Nous avons accès à la plénitude de la vie de Jésus-Christ dans notre être entier, l'esprit, l'âme et le corps. Nous recevons quelque chose d'entièrement nouveau : c'est une nouvelle création.

 

            Adam et Eve ont eu la première création, nous allons avoir une nouvelle création, et ce corps ne sera plus fait de la poussière de la terre. Il sera complètement transformé par la puissance de Dieu en quelque chose de nouveau comme le corps de Jésus-Christ à sa résurrection. C'était bien un corps de chair et d'os, mais il est écrit que la mort n'avait plus de pouvoir sur lui. Il est ressuscité, et il nous donne maintenant une vie de résurrection. Adam et Eve avaient au début une vie éternelle, et nous avons une vie de résurrection parce que nous avons connu la mort en Jésus. Vous pouvez recevoir de Jésus, non pas une appartenance à un nouveau groupe religieux, mais une appartenance à la famille de Dieu. Vous pouvez devenir un être entièrement nouveau, d'abord dans votre esprit, ensuite dans votre âme, et enfin dans votre corps.

 

            Lorsque nous naissons sur cette terre, nous naissons avec une hérédité pesante qui ne remonte pas seulement à notre grand-père, ou à notre arrière grand-père, ou arrière grand-mère, mais qui remonte à Adam et Eve. Il y a des générations et des générations de péché qui pèsent sur nous quand nous naissons sur cette terre. Mais quand nous entendons et acceptons le message de l'Evangile de Jésus-Christ, mort à notre place sur la Croix pour le pardon de nos péchés, nous recevons par la foi la vie éternelle de Dieu, une vie qui ne périt jamais. Notre esprit redevient vivant de mort qu'il était, notre esprit passe par une re-création de Dieu, et nous devenons fils et fille du Dieu vivant.

 

            Quand Jésus va revenir, notre corps mortel va être englouti dans l'immortalité de Jésus. En un instant, notre corps mortel va être changé en corps incorruptible. Tous ceux qui appartiennent au Seigneur, qui croient en lui, qui lui ont donné consciemment et volontairement leur vie tout entière vont partir à sa rencontre, vont monter, et pourront voir Jésus de leurs yeux. Ceux qui sont morts avant nous dans le Seigneur Jésus-Christ vont ressusciter les premiers. Et nous, nous serons changés en un instant, en un clin d'œil, et tous ensemble, eux et nous, nous allons monter à la rencontre de Dieu. Nous allons revoir tous ceux qui sont morts en Christ avant nous, et nous allons monter tous ensemble.

 

            Il y a trois mois, j'étais invité à parler à Liège, en Belgique, et je n'avais aucun message à leur donner. Je n'aime pas servir des messages réchauffés. J'ai prié intérieurement en disant : "Seigneur, il faut que tu me donnes quelque chose pour ce soir." Et cinq minutes avant que je me lève pour parler, je n'avais rien à dire. Je dis : "Seigneur, mais qu'est-ce que je vais leur dire ?" Cela m'est arrivé très rarement, mais ce soir-là, j'ai dû dire : "Je ne vais pas parler pour ne rien dire, on va prier ensemble un moment." Et quelques minutes après, j'ai reçu un message clair et net sur l'enlèvement de l'Eglise de Jésus-Christ, sur la proximité du retour de Jésus, et je leur ai délivré ce message.

 

            Et à la fin du message, je vois un homme qui se lève tout pâle et qui dit : "Mes frères et sœurs, il faut que je vous donne un témoignage tout récent. Ma femme, convertie comme moi, a eu un rêve il y a quelques jours, et le matin elle me l'a raconté, et dans son rêve, elle commençait à monter, et ses yeux voyaient le Seigneur, et tout à coup le Seigneur l'a désignée et lui a dit : "Tu ne montes pas, tu n'es pas prête !" Elle montait avec des tas de bagages, elle voulait amener pleins de choses avec elle, et ça ne montait pas. Et le Seigneur lui a dit : "Tu n'es pas prête." Et elle s'est réveillée, et a raconté le rêve à son mari. Alors, son mari s'est mis à trembler en disant : "Si toi, qui est plus spirituelle que moi, tu ne montes pas, qu'est-ce que ça va être pour moi !"

 

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29 décembre 2011 4 29 /12 /décembre /2011 11:38

 

Le plan de Dieu pour l'humanité

Dieu appelle chacun, et lui dit : Où es-tu ?


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            Et il a prié en disant : "Seigneur, il faut que tu me parles. Si vraiment c'est un rêve qui vient de toi, je veux mettre ma vie en règle avec toi." Et le Seigneur a commencé à lui parler. Et il y a une chose que le Seigneur lui a montré en premier : la télévision. C'était quelque chose qui l'alourdissait. Il y passait sans doute trop de temps, et ça remplissait son cœur de choses mauvaises, et il n'était pas prêt à monter, il était trop lourd. Et il a dit : "Seigneur, je mets ça en règle." Et il a enlevé sa télé. Je ne vous dis pas que c'est ce qu'il faut faire dans tous les cas, ce serait légaliste, mais pour lui, il a compris qu'il devait se débarrasser de la télé. Ensuite il a prié en disant : "Seigneur, si le rêve de ma femme vient de toi, et si tu veux me parler à moi, eh bien, fais que le frère Henri qui doit venir dans quelques jours nous donne un message sur l'enlèvement de l'Eglise." Et j'ai reçu le message sur l'enlèvement cinq minutes avant de parler. Je dis cela pour vous montrer que le Seigneur veut insister sur l'importance d'être prêt à le rencontrer. Il insiste parce qu'il veut que tous les hommes soient sauvés.

 

            Est-ce que tous sont sauvés ? Non ! Il y a des personnes qui ne connaissent pas Jésus, il y a des personnes qui refusent Jésus. On leur annonce un Jésus qui vient leur donner un salut gratuit, et ils disent : "Non !" Mais s'ils disent non jusqu'au dernier moment, ils ne pourront pas entrer dans la présence de Dieu. Ils seront perdus pour l'éternité s'ils meurent dans cet état. Si vous mourrez dans vos péchés, vous ne pourrez jamais voir le royaume de Dieu.

 

            Mais le Seigneur veut que tous les hommes soient sauvés. Il veut aussi que tous les hommes soient guéris. La maladie et l'infirmité sont venues avec la mort spirituelle reçue par le péché. Est-ce que tous sont guéris ? Non ! Il y a beaucoup de malades parce qu'il y a beaucoup d'incrédulité au milieu du peuple du Seigneur. Je ne dis pas ça pour vous accuser, mais je ne vois pas aujourd'hui dans l'Eglise de Jésus-Christ les nombreux miracles de guérison décrits dans le livre des Actes des Apôtres, et mon cœur soupire après cela.

 

            Je voudrais voir dans l'Eglise ce que je vois écrit dans le début du livre des Actes, où l'ombre de Pierre guérissait ceux qui étaient sur son passage, où tous étaient guéris à Jérusalem. Est-ce que Dieu aurait changé ? A Nazareth, Jésus n'a pu faire aucun miracle à cause de leur incrédulité, et pourtant c'était Jésus en personne, avec toute sa puissance, toute sa gloire. Il n'a rien pu faire comme miracle, si ce n'est qu'il a imposé les mains à quelques personnes, et qu'il les a guéries. Et il est bien dit : « Et il ne fit pas beaucoup de miracles dans ce lieu, à cause de leur incrédulité » (Matthieu 13:58)

 

            Alors je me mets en cause personnellement et je dis : "Seigneur, je t'en supplie, fais un travail en moi pour me remplir de ta foi." Parce que c'est Jésus qui donne la foi. Cette Parole que je suis en train d'annoncer, c'est la Parole du Seigneur mais le Saint-Esprit qui est là au milieu de nous, c'est lui qui donne la foi pour la recevoir, c'est lui qui peut ouvrir les cœurs, comme il a ouvert le coeur de cette marchande de pourpre qui écoutait ce que disait Paul, et Dieu a vu qu'elle était là attentive, et il lui a ouvert le cœur pour qu'elle comprenne : « Lydie, marchande de pourpre, de la ville de Thyatire, était une femme craignant Dieu, et elle écoutait. Le Seigneur lui ouvrit le coeur, pour qu'elle fût attentive à ce que disait Paul » (Actes 16:14).

 

            Et le Saint-Esprit qui est au milieu de nous veut ouvrir tous les cœurs pour nous faire comprendre à quel point Dieu nous aime, et à quel point il veut nous éviter ce jugement terrible qui va venir sur tous ceux qui auront refusé le Seigneur, et qui auront persévéré dans ce refus.

 

            Si tu n'as pas aujourd'hui la certitude que tu es sauvé, c'est que tu as besoin d'être sauvé. Dieu veut te sauver ce soir parfaitement. Qu'est-ce qu'il faut faire pour être sauvé ?

 

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29 décembre 2011 4 29 /12 /décembre /2011 11:35

 

Le plan de Dieu pour l'humanité

Dieu appelle chacun, et lui dit : Où es-tu ?


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            Il y a quelques années, un pasteur anglais tenait un petit stand sur le marché de Lourdes, et un jour une religieuse catholique est venue devant ce stand, et elle a regardé. Et après quelque temps, elle a dit : "Monsieur le pasteur, qu'est-ce qu'il faut faire pour être sauvé ?" Elle s'était faite religieuse parce qu'elle cherchait le salut. Elle voulait consacrer sa vie à Dieu, elle voulait de tout son cœur chercher à faire quelque chose de bien pour Dieu. Et pour elle ce qu'elle avait trouvé de mieux, c'était s'enfermer dans un couvent pour consacrer toute sa vie au seul Dieu qu'elle connaissait. Et voilà qu'elle dit : "Qu'est-ce qu'il faut faire pour être sauvé ?" Le pasteur lui a simplement dit : "Vous n'avez rien à faire pour être sauvé, sinon à croire que Jésus a tout accompli pour votre salut." En quelques mots, il lui a annoncé l'Evangile, et le Saint-Esprit a confirmé dans son cœur que c'était la vérité. Elle a seulement dit : "J'ai compris." Elle a quitté le voile et son habit de religieuse, elle a quitté son couvent, elle s'est mariée à un bon chrétien, et ils ont été heureux de servir le vrai Dieu.

 

            Ce n'était pas le plan de Dieu qu'elle s'enferme dans un couvent. Le plan de Dieu, c'était qu'elle connaisse Jésus, celui qui avait tout accompli pour elle, qui était mort à la Croix pour elle, qui avait tout fait pour payer pour elle. Elle essayait de payer de tout son cœur pour essayer de gagner quelque chose que Jésus lui avait déjà donné gratuitement, et elle ne le savait pas. Et elle a entendu ces mot : "Tu n'as rien à faire, sinon à croire ce que Jésus a fait pour toi."

 

            Jésus est venu mourir à notre place sur la Croix, il est venu payer le prix, il est venu verser son sang pour nous. Il a versé un sang pur, alors que le nôtre était souillé depuis la naissance par le péché. Aucun homme ne pouvait verser son sang pour nous, il aurait versé un sang souillé ; mais Jésus a versé un sang pur parce qu'il est né sans péché, et il a payé dans sa chair. Il est mort sur la Croix pour que dans sa chair, il prenne par sa mort les péchés du monde entier, les tiens, les miens, les péchés du premier homme jusqu'au dernier.

 

            D'avance il a tout payé. Mais certaines personnes veulent encore payer pour leur salut ! On n'a rien à payer, c'est un cadeau royal que Jésus nous a donné : nous qui étions morts, il nous donne une vie éternelle, une communion avec lui, une relation directe avec lui par notre esprit.

 

            Je vais vous lire encore un verset, à la fin de la Bible. Quand Dieu recrée tout à nouveau, il commence par recréer en nous un esprit nouveau quand nous croyons en Jésus. Mais il vient un moment où Dieu va faire toutes choses nouvelles. Et dans Apocalypse 21 au verset premier, il est écrit : «Je vis un nouveau ciel et une nouvelle terre » La terre actuelle est condamnée à mort, elle va disparaître dans des flammes de feu, et il ne restera rien. Comment peut-on être attaché à quelque chose qui est condamné à mort ? Ceux qui sont à Jésus-Christ ont crucifié la chair, et disent : « Pour ce qui me concerne, loin de moi la pensée de me glorifier d'autre chose que de la croix de notre Seigneur Jésus-Christ, par qui le monde est crucifié pour moi, comme je le suis pour le monde ! » (Galates 6:14).

 

            Et nous continuons la lecture dans le livre de l'Apocalypse : « Je vis un nouveau ciel et une nouvelle terre ; car le premier ciel et la première terre avaient disparu, et la mer n'était plus. Et moi, Jean, je vis descendre du ciel, d'auprès de Dieu, la ville sainte, la nouvelle Jérusalem, préparée comme une épouse qui s'est parée pour son époux. Et j'entendis du trône une forte voix qui disait: Voici le tabernacle de Dieu avec les hommes ! Il habitera avec eux, et ils seront son peuple, et Dieu lui-même sera avec eux » (Apocalypse 21:1-3).

 

            Le tabernacle c'est l'habitation de Dieu avec les hommes. On retrouve ce que Dieu avait voulu dès le départ : habiter avec l'homme dans un paradis merveilleux. Mais là, il recrée les choses d'une manière encore plus formidable, un nouveau ciel, une nouvelle terre. Déjà celle où nous vivons actuellement est si belle, malgré le péché de l'homme, mais on ne peut pas imaginer ce que sera la nouvelle terre. Et sur la nouvelle terre, il vient faire descendre la Jérusalem céleste, une ville extraordinaire, une ville merveilleuse. Mais si elle est merveilleuse cette ville, c'est que Dieu est là au milieu, c'est qu'elle est remplie de la présence de Dieu. Et Dieu sera visible à tous les yeux.

 

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